Dans quelques jours (et moyennant ma motivation à finir la présentation que je dois terminer aujourd’hui), je vais rejoindre le corps professoral, ajoutant officiellement ma casquette de « formatrice / consultante sur l’évolution des media et leur consommation » aux précédentes (journaliste & écriveuse de bonnes aventures).
Le truc rigolo dans cette histoire c’est que je dois former des jeunes à l’intégration du media Internet dans des dispositifs publicitaires pluri-media. Pour une nana qui répète à qui veut l’entendre que personne ne regarde la publicité sur Internet, sauf les gens qui bossent dans la publicité sur Internet… Ça peut bien se passer !
La vérité, ami lecteur, c’est que j’ai beau être en première ligne pour décrypter les mécanismes publicitaires et médiatiques, j’ai beau être de l’autre côté du miroir à tapoter des mots sur des blogs, parler stratégie de communication et lire tout ce qui peut bien passer devant mes yeux sur le sujet, je n’en reste pas moins une consommatrice… Et c’est après m’être lavé le visage avec une éponge Konjac repérée sur un blog, appliqué de l’huile de thé blanc dont j’avais entendu parler dans une vidéo YouTube et sorti mon rouge à lèvres Frog Prince acheté sans réel besoin suite à une story Snapchat, que m’est venue la plus étrange des révélations :
Oui, MOI, Elise Richard, je suis une consommatrice influençable… Et influencée par Internet !
Mais alors dit-donc, ces produits aux vertus révolutionnaires valent-ils vraiment la peine ?
Parce si tu as cliqué sur cet article, c’est quand même un peu pour ça, je m’en vais te donner mes commentaires suite à un crash test de plusieurs semaines.
Let’s go!